Homo numericus

audiobook (Unabridged) La « civilisation » qui vient

By Daniel Cohen

cover image of Homo numericus
Audiobook icon Visual indication that the title is an audiobook

Sign up to save your library

With an OverDrive account, you can save your favorite libraries for at-a-glance information about availability. Find out more about OverDrive accounts.

   Not today
Libby_app_icon.svg

Find this title in Libby, the library reading app by OverDrive.

app-store-button-en.svg play-store-badge-en.svg
LibbyDevices.png

Search for a digital library with this title

Title found at these libraries:

Loading...
L'auteur de La Prospérité du vice et d'autres best-sellers décrypte avec une joyeuse férocité cette prétendue « civilisation » qui bouleverse nos vies.

L'amour ? Désormais, c'est Tinder !
Le bureau ? En télétravail !
Un nouveau job ? Ce sont les algorithmes qui recrutent !
Les partis politiques ? C'est sur Twitter !

Au centre de ce nouveau monde : Homo numericus, un être submergé de contradictions. Il veut tout contrôler, mais il est lui-même irrationnel et impulsif, poussé à des comportements addictifs par ces mêmes algorithmes qui surveillent les moindres détails de son existence.
Faut-il désespérer ? Pas nécessairement. La révolution numérique est née des attentes d'une société qui rêvait de connaissances infinies, qui voulait que toute parole soit écoutée. Sans vérité révélée, affranchie des hiérarchies du passé. Trouver la voie qui permette d'accomplir cette utopie : telle est aussi l'ambition de ce livre.

Économiste reconnu pour sa clarté et son talent de pédagogue en France comme à l'étranger, Daniel Cohen est membre fondateur et président de l'École d'économie de Paris.

TABLE DES MATIERES
Introduction


PREMIÈRE PARTIE : L'ILLUSION NUMÉRIQUE
Chapitre I.
Le corps et l'esprit
Chapitre II. Abêtir et punir
Chapitre III. En attendant les robots
Chapitre IV. Anomie politique

DEUXIÈME PARTIE : LE RETOUR DU RÉEL
Chapitre V.
L'imaginaire social
Chapitre VI. Winter is coming
Chapitre VII. Dans cent ans

En guise de conclusion
Homo numericus